Très chère Mary Ann,
Et bien voilà ! Comme sans doute beaucoup de vos lecteurs, je suis tombée sous le charme de ce joli village de l'île de Guernesey. Et de ses habitants.
Un peu décontenancée au départ par la forme épistolaire de votre beau roman ( ce n'est pas à la mode ? Vous vous en fichez bien et vous avez raison ! ) me voilà séduite par ce genre littéraire créant une relation plus intime à la lecture. Après quelques pages, on a le sentiment que c'est à nous que ces lettres s'adressent et, comme Juliet, on a envie de rencontrer vos personnages. Quelle tendresse, quelle fantaisie et quel courage en eux !
Puissiez-vous, au Paradis des Ecrivains où vous reposez désormais, retrouver ceux et celle qui vous ont si bien inspirée, et que vous avez tant aimés. Et que votre propre talent se perpétue à travers votre nièce Annie.