OUVRIR UN NOUVEAU LIVRE DE ZOYA PIRZAD, C'EST COMME RETROUVER UNE VIEILLE AMIE ET REPRENDRE LA CONVERSATION ... là où on l'avait laissée ...
Et elle nous donne, comme en confidence, des nouvelles de sa famille, de ses amis, de sa rue, de son quartier.
On se surprend à revivre ce plaisir simple d'une bonne lecture : une histoire simple, des portraits bien brossés et un style qui coule en douceur, qui serpente tranquillement ...
On ne peut que remercier une fois encore les éditions Zulma de publier cette belle femme généreuse qui nous parle de la vie quotidienne en Iran comme si nous étions de proches voisins.
La petite flamme de C'est moi qui éteins les lumières nous réchauffe le coeur ...
Myriam Peyraud
Et aussi de très jolies nouvelles : Comme tous les après-midi, maintenant en petit format. A garder dans sa poche pour des petits moments de douceur dans ce monde de brutes ...
RépondreSupprimer" Zoya Pirzâd décrit l'éternité qui passe, déposant une feuille d'or sur le quotidien de ces Iraniennes. "
Astrid Eliard, Le Figaro littéraire.
Myriam